Saison 4 : L'ange blanc - Le village maudit

Avec :

Jean-Claude BOUILLON :  Commissaire VALENTIN
Jean-Paul TRIBOUT        : Inspecteur PUJOL
Pierre MAGUELON         : Inspecteur MAGUELON
François MAISTRE         : Monsieur FAIVRE

Scénario, adaptation et dialogues de Claude DESAILLY
Réalisation de Victor VICAS

Musique de Claude BOLLING Editions "Intersong Pigalle"
Générique "La complainte des apaches" (C. Bolling/R. Dijan)

Interprété par Philippe CLAY

L'ange blanc

En 1908, le Tour de France en est à sa 6e édition. Le règlement est très strict, les coureurs doivent réparer eux-mêmes crevaisons et autres incidents techniques. L’épreuve déclenche l’enthousiasme de nombreuses personnes, mais a aussi des adversaires acharnés, qui vont jusqu'à jeter des clous sur les routes. Un coureur est découvert mort, sur le côté de la route, par un autre coureur. Arrive justement Sabatier, un journaliste du Vélo, le journal qui organise la compétition. Sabatier envoie son chauffeur, Fulbert, chercher les gendarmes. Henri Chaumette, le directeur du Vélo, parle à sa femme, Suzanne, de la lettre signée l’Ange blanc, qu’il vient de recevoir. Son auteur, qui avait déjà envoyé des menaces l’année précédente, annonce qu’il a assassiné le coureur et que ce n’est qu’un début. Un deuxième coureur est retrouvé mort. La Brigade est chargée de l’enquête. L’étape suivant part, avec l’aide de Petit-Breton, un des coureurs, qui décide de partir, même s’il doit partir seul. Petit-Breton crève. Sabatier découvre son vélo. Le coureur échappe de justesse à l’Ange blanc. Il est sauvé par Valentin. Le soir Chaumette reçoit une lettre de l’Ange blanc qui lui annonce qu’il va le tuer dans la nuit. Malgré la protection de Valentin et de Sabatier, Chaumette est retrouvé mort, au matin, par sa femme…

Le village maudit

En 1898, Pierre et Marie Curie découvrent le radium, ouvrant ainsi l’ère de l’atome. En 1913, dans les campagnes, on croit encore aux sorciers et au diable. Dans un village isolé, les bêtes meurent mystérieusement. Les villageois veulent brûler Maudruc, un malheureux qui habite la montagne, qu’ils prennent pour un sorcier. L’instituteur, Thévenin, et le curé essayent de le sauver. C’est l’explosion des anciennes carrières qui permettent à l’instituteur de le libérer et de le faire fuir. L’évêque fait appel à Faivre qui envoie Terrasson au village. Celui-ci, en arrivant, croise des habitants qui fuient. Il rencontre Mme de Castro, la châtelaine, à qui il se présente comme étant un journaliste et dit vouloir rester quelques jours au village. Elle le conduit chez Mme Thévenin, la femme de l’instituteur, dont le mari a disparu depuis une semaine. Les plantes meurent aussi. Tous les matins, les cloches de l’église sonnent mystérieusement. Mme Thévenin découvre que sa maison a été visitée durant la nuit. Terrasson constate qu’un numéro de la Revue mensuelle de géographie manque. Il piège l’église avec un appareil photo. À la ville, il commande un exemplaire du numéro disparu de la revue. La photo montre les pieds du « fantôme » qui n’a pas de lacets. De retour au village, Terrasson apprend qu’on a retrouvé l’instituteur mort. Il remarque que Maudru n’a pas de lacet à ses chaussures. Terrasson fait appel aux Brigades. Valentin et Pujol arrivent alors que Terrasson a, lui aussi, disparu…


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